Épisode Episode 1 S02E01 - A Discovery of Witches Saison 2

Madison, de nos jours

Knox, Satu et Gerbert, debout dans la chambre de Diana à Madison, essaient de comprendre où elle et Matthew ont disparu. Le trio rassemble les pièces assez rapidement en remarquant les vêtements fraîchement jetés du couple et Gerbert se demande s'ils ne sont pas allés quelque part où ils ne peuvent pas être vus dans des vêtements modernes. Knox fait la révélation que Diana Bishop peut voyager dans le temps.

Londres, 1590

Une femme âgée est assise à côté d'un feu de joie et regarde au loin en disant que l'arrivée prophétisée d'une sorcière est pour le soir même.

Diana et Matthew apparaissent au milieu d'une rue sombre du Londres élisabéthain. Troublé, Matthew note que l'endroit où ils sont arrivés n'est pas celui qu'il espérait. Ils marchent sur une courte distance avant d'entrer dans un bâtiment avec lequel Matthew semble assez familier et pour cause, c'est sa maison.

Alors que Matthew tente de savoir où se trouvent les autres habitants du logement, un homme s'approche de Diana et demande qui elle est. Matthew revient précipitamment, grognant alors que l'homme lui dit qu'il est sûr qu'elle est une sorcière. Un autre homme et une femme, Pierre et Françoise, des servants, descendent l'escalier voisin, et Pierre se réfère à Matthew comme «Maître Roydon» avant de déclarer qu'ils ne l'attendaient pas avant des semaines. Le premier homme, que Matthew appelle Kit, affirme avec colère que le vampire a été ensorcelé. Furieux, Matthew parle d'un ton menaçant alors qu'il confirme que non seulement il va bien, qu'il a toute sa tête, mais que Diana est là en tant que maîtresse de maison car elle est sa femme.

Matthew et Diana se retrouvent dans leur chambre. Bien qu'ils semblent avoir atterri à 60 miles de leur parcours, Diana a quand même réussi à les transporter à la bonne date. Nous apprenons alors que Kit n'est autre que le célèbre dramaturge et poète Christopher Marlowe et qu'il est un démon.

Françoise frappe et entre dans la chambre déclarant que Kit a envoyé chercher Sir Walter Raleigh et Henry Percy, le comte de Northumberland (tous deux humains et amis de confiance). Diana, mettant deux et deux ensemble, se rend compte que le cercle d'amis du vampire signifie qu'il est le mystérieux poète anglais connu sous le nom de Matthew Roydon de la fameuse Ecole de la Nuit.

Matthew décide de parler immédiatement à Kit pour lui faire entendre raison et celui-ci recommence à l'interroger sur Diana. Il croit toujours que son ami a été ensorcelé.

A l'étage, Françoise apporte à Diana une tenue à porter qui appartient à la sœur de Matthew, Louisa. Adéquatement habillée pour l'époque, Diana redescend pour rencontrer Walter et Henry, qui commencent aussitôt à remettre en question l'histoire racontée par Matthew et surtout son étrange accent.

Les choses restent tendues entre Kit et Diana alors que les trois hommes sortent de la maison et ils lui conseillent tous de ne pas sortir pour le moment afin de ne pas éveiller les soupçons car elle a une allure vraiment étrange.

Diana n'est pas contente d'apprendre que Matthew doit également partir pour la soirée, car son retour en ville signifie qu'il doit se réorienter et se reconnecter à certaines personnes de son passé.

Matthew rôde dans les rues de Londres alors que Diana décide d'aller se coucher mais elle est bientôt distraite par un sentiment qui la conduit à l'extérieur. Enfilant un manteau, elle sort et voit une femme avec une aura briller autour d'elle, une sorcière. Diana la suit vivement. Lorsque la femme le remarque et se retourne, elle ressemble exactement au démon actuel, Sophie.

Au retour de Matthew, Diana lui raconte ce qui s'est passé, déclarant que la femme doit être un ancêtre de Sophie. Elle croit que c'est ainsi que la pièce d'échecs de Matthew finira dans la famille de Sophie, et qu'elle doit être la sorcière qui est censée être son professeur. Matthew est en colère, car elle a été imprudente, et sceptique : le couple commence à se disputer.

Le matin venu, Matthew cède et dit à Diana qu'il va demander à Walter de trouver la sorcière. Pendant ce temps, Matthew et Diana partent à la découverte de la ville. Le couple attire de nombreux regards des habitants de la ville lorsqu'ils traversent les rues. Malgré les circonstances, l'historienne en Diana est ravie de découvrir l'époque élisabéthaine.

En marchant, ils rencontrent un homme qui leur jette un coup d'œil puis part. L'ayant aperçu Matthew est ennuyé car il se souvient qu'être à Londres signifie qu'il a maintenant quelqu'un à qui il doit faire un rapport. Et le problème ? Il ne se souvient pas exactement de ce que Matthew Roydon était censé faire à ce moment-là dans les années 1590.

Matthew va dans une taverne et cherche un homme qu'il connaît. Il utilise une tactique prudente pour amener l'homme à lui dire ce qu'il faisait hors de Londres : il était dans le nord pour traiter avec le roi écossais.

Satisfait des informations qu'il a obtenues, Matthew arrive au bureau de l'homme à qui il a doit se présenter : William Cecil, Lord Burghley. Matthew tente soigneusement d'expliquer son retour prématuré à Londres.

De retour à la maison, Diana explore les couloirs et se retrouve dans le grenier. Elle trouve une lettre portant le sceau royal adressée à «mon ombre fidèle». Elle continue de regarder autour d'elle, trouvant finalement une trappe cachée dans les panneaux du toit. Diana entre dans une pièce cachée remplie de centaines de lettres. Elle trouve alors un chapelet et lève les yeux pour voir une croix sur le mur. Françoise entre dans la pièce, inquiète, et Diana raconte rapidement qu'elle savait déjà que Matthieu était catholique. Françoise ne semble toujours pas entièrement convaincue qu'elle n'a pas ensorcelé son maître, mais Diana la rassure lui promettant de ne pas raconter ce qu'elle a vu. Elle poursuit en disant qu'elle soupçonnait déjà Matthew d'être un espion, mais qu'elle n'avait pas assemblé toutes les pièces du puzzle jusque-là : il identifie les catholiques alors qu'il en est un lui-même.

Matthew rentre à la maison et trouve Diana assise au bureau du grenier. Il explique que son père avait besoin d'un espion à la cour anglaise à l'époque et qu'il l'avait envoyé tout en sachant qu'il était catholique et donc trahissait sa religion. C'est aussi pourquoi il doit se présenter à Lord Burghley.

Le lendemain, Kit, Walter et Henry ont retrouvé la sorcière de Diana : Susanna Norman. La femme s'assoit à la table avec Diana, touchant son front et déclarant rapidement qu'elle n'est pas une sorcière. Diana, cependant, pense qu'elle peut sentir son pouvoir et l'implore de tester ses capacités. La femme s'exécute après que Matthew ait ajouté avec désinvolture une menace et elle défie Diana d'allumer une bougie. Elle n'est pas contente de voir les tentatives ratées de Diana. Cependant, Diana finit par vieillir rapidement un bol de fruits à un rythme alarmant. Effrayée, la femme part rapidement et elle dit à Diana que le pouvoir comme le sien est la raison pour laquelle les sorcières sont chassées en Écosse et appelle Matthew son époux. Diana est étonnée, personne n'est censé être au courant en dehors de la maisonnée.

Diana essaie de suivre Susanna, mais la sorcière disparaît rapidement. Alors qu'elle se tient dehors pour parler à Matthew, un jeune garçon tente de la voler à la tire. Bien que Matthew soit en colère, Diana ne l'est pas et elle décide d'amener le garçon chez eux. Ils apprennent que le garçon, Jack, n'a pas de famille. Diana lui demande s'il a entendu quelque chose à son sujet avant ce jour et il leur apprend que les gens ont dit qu'elle était une sorcière. Les rumeurs provenaient de la taverne du coin.

Alors que Matthew et Diana s'assoient avec Kit, Henry et Walter, Matthew se rend compte rapidement que l'un d'eux a parlé de Diana en public, à la taverne. Il comprend vite de qui il s'agit. Il renvoie Henry et Walter et se tourne vers Kit, l'accusant. Kit ne prend même pas la peine de le nier, disant qu'il recommencerait s'il le fallait. Matthew le cloue avec colère contre le mur, exigeant de savoir ce qui est arrivé à sa loyauté. Diana essaie de les séparer alors que Kit essaie d'expliquer les choses de son point de vue : Matthew est revenu d'Ecosse, marié à une sorcière sans mot d'explication, et il n'est pas lui-même. Diana décide qu'ils doivent dire la vérité à Kit, sinon il continuera à créer des problèmes. Diana poursuit en lui expliquant qu'elle est une fileuse du temps (un marcheur du temps) et qu'ils viennent tous les deux du futur. Matthew dit à Kit qu'il peut, soit être son ami et les accepter tous les deux, soit quitter la maison et ne jamais revenir.

Françoise retrouve Matthew plus tard et délivre une lettre d'un des hommes de William Cecil. Diana se réveille incapable de trouver Matthew et Kit l'informe qu'il est sorti. Les deux sont assis près du feu. Kit prévient Diana que son Matthew semble être plus doux mais qu'être de retour en 1590 le changera. Diana comprend aussitôt que les sentiments de Kit pour Matthew sont bien au-delà de l'amitié.

Pendant ce temps, Matthew se tient dans une cellule rôdant autour d'un homme enchaîné qu'un autre homme commence à torturer sur ses ordres. Le prisonnier hurle. Il ne bronche pas.

 

Résumé écrit par mnoandco à partir du récapitulatif de The Nerdsandbeyond.

MADISON

Satu uses her magic to find where Diana and Matthew are gone

GERBERT : What is it, a cloaking spell?

SATU : Peter, can you feel it. The magic she used.

PETER : Whatever it is, it’s a decoy. She wants us chasing our tails.

GERBERT :Oh, they were definitely here.They were wearing these clothes just moments ago.

SATU : Why stop to change if they were in such a rush to escape?

GERBERT : What if they were going somewhere and they couldn’t be seen in modern-day clothes?

PETER : She’s a timewalker. She’s powerful enough.

GERBERT : Where better to hide from us than in the past?

SATU : Where better to look for The Book of Life.

GERBERT :Wherever they are, they can’t stay gone forever. We’ll wait. I’m very good at waiting.

LONDON 1590

All Hallows’ Eve
An old witch speaks

GOODY ASLOP : She will come this year. I know it. We have had the portents from the north.I have watched the heavens.This is the All Hallows of the prophecy. I know it. She will arrive this night, our fearsome witch.

Diana and Matthew arrive in London 1590 slightly off course from where they planned. 

DIANA : Where are we?

MATTHEW : Not where I had hoped.This way.

They enter Matthew’s London home

DIANA You know this place?

MATTHEW : Oh, yes.Very well.

MATTHEW'S HOUSE

They confronted by Christopher Marlowe, who instantly distrusts Diana.

MATTHEW : This house is never empty. Stay behind me.

KIT : Who the hell are you? Matt !

Matthew, menacing

MATTHEW : Stand down. She’s with me.

KIT : She is a witch. I am sure of it.

PIERRE : Master Roydon. We weren’t expecting you for weeks yet.

KIT : Send for Raleigh. He is bewitched.

MATTHEW : Kit… Enough!Let me make this exceedingly clear. I am perfectly well and in my right mind.This is Diana.

To Kit, always calm but threatening

MATTHEW : And if you want to keep a tongue in your head, you will speak of her with respect. She’s here not as my guest, but as lady of the house.She is…She is my wife, Kit.

Diana and Matthew's bedroom, upstairs

MATTHEW : We should have arrived in the country.

DIANA : Sixty miles off course. I wonder what I did wrong.

MATTHEW : You say wrong, but look where we are.You got the right year, the right night even.You did it.

DIANA : Your wife did it.

MATTHEW : Mmm, I’m sorry about that. Kit can be extremely…

DIANA : Protective. And suspicious, as he has every right to be. Can’t believe Christopher Marlowe is a daemon. Can’t believe you didn’t tell me.What?

Seeing Diana's neck

MATTHEW : They’ll know that I fed on you, and they won’t understand.A witch living with a wearh is strange enough.

DIANA : A wearh ?

MATTHEW : A wearh. A vampire. Promise me that you’ll keep it covered up, always.

Knocking on the door

FRANCOISE : Master Marlowe has sent for Sir Walter and the Earl of Northumberland.

MATTHEW : Humans, friends, but we can trust them. Francoise, find something for Diana to wear, would you? Do we still have some of Louisa’s old clothes? Thank you, Francoise.

DIANA : The Earl of Northumberland and Sir Walter… Sir Walter Raleigh? You’re Matthew Roydon. The School of Night Matthew Roydon, the only member of the group that we know nothing about.

MATTHEW : For good reason. Now I have to become him again.

DIANA : Is that really so bad? Won’t being in the center of things make it easier to find The Book of Life?

MATTHEW : I hope so. I just thought that we could lay low,get what we need and get out again. No mess. Speaking of which, I really need to deal with Kit.

Outside

KIT : When did you first cross paths with her? Do you remember?

MATTHEW : Kit. I’m not under a spell.

KIT : Just indulge me.

MATTHEW : I’m sorry, old friend. It wasn’t the best way to tell you, I know.

Kit punches Matthew

MATTHEW : I’m not under a spell.

KIT : A witch? You spoke civilly to one, I’d be concerned, but married?

MATTHEW : I expect you to take me at my word…

KIT : Until you are you again, I shall imagine you a stranger.

Diana and Matthew's bedroom
Knocking on the door
Françoise brings clothes for Diana

DIANA : Come in.Thank you. Does Matthew’s sister visit often?

FRANCOISE : You need to come out of that shift.

DIANA : Okay.

Françoise sees Satu's mark on Diana's back

FRANCOISE : Who did that to you?

DIANA : It was…It was a fellow witch. Matthew and I… It hasn’t been easy.

FRANCOISE : Well, don’t you mind these old clothes, Mistress Roydon.We’ll have a nice new wardrobe for you presently.

DIANA : Thank you.

Dowstairs

Voices : ...And we would have made faster progress.

MATTHEW :Diana, Lord Henry Percy, Earl of Northumberland and Sir Walter Raleigh.

HENRY PERCY : It’s an honor to meet you.

SIR WALTER RALEIGH : I don’t recognize your accent. Where are you from?

DIANA : Cambridge.

LORD HENRY PERCY : I do beg your pardon, Mistress Roydon. I’m a little hard of hearing.

DIANA : I… I’m from Cambridge, my lord. -

SIR WALTER RALEIGH : I would not have guessed.

DIANA  : Well, perhaps somewhat to the west of Cambridge.

MATTHEW : Gentlemen, there are two matters. Firstly, Diana is in need of a teacher. A witch. Her parents died when she was very young. Therefore, she lacks training. I’m sure between us we can find someone discreet.

SIR WALTER RALEIGH : And the other matter?

DIANA  : We need to locate a lost book, an alchemical manuscript.

MATTHEW : The book contains information about the wilder creatures.

KIT : Not the Book of Mysteries? Surely…

MATTHEW : The very same.

KIT : It has details of the origins of the three creatures, if it exists.

DIANA : It exists.

IN THE STREET

KIT : We must tread carefully. People will talk if they see you with a witch. And if it’s discretion you want …

Showing Diana

KIT : … I’d keep that indoors.

SIR WALTER RALEIGH : Kit may be right, Mistress, though his manners are wanting.Your accent, even your choice of words, sets you apart. Perhaps it would be wiser to settle in first.

DIANA : Fine. I’ll lay low until I find my feet. But no one is keeping me anywhere.

MATTHEW'S HOUSE

DIANA : It’s too early for bed. I might sleep for a month.

MATTHEW : I have to go out.

DIANA : Tonight? What for?

MATTHEW : There are certain people I have to reach out to. Reorient myself. I remember the broad strokes of all of this, but it has been over 400 years.

DIANA : We’ll find a teacher in the morning, won’t we? As soon as I can master my magic, we’ll find the book ourselves. And we can get home again.

MATTHEW : Believe me, I’m counting on it.

Diana and Matthew's bedroom
Diana is awoken by a strange presence, a familiar aura she knows as a witch.

DIANA : A witch.

IN THE STREET

In the street, she sees and follows the witch and when shee sees her...

DIANA : Sophie?

She hurries off before she can say anything

MATTHEW'S HOUSE

In the bedroom

DIANA : She must be Sophie’s ancestor. She has to be. She’s a witch and… The chess piece. This is how it gets to her family. That woman becomes my teacher.

MATTHEW : What if it was her magic luring you outside?

DIANA : No, it wasn’t. It was me. I had a new way of seeing, of knowing. Matthew. I’m right. This is a good thing.

Matthew is angry

MATTHEW : You should have waited for me. How am I supposed to protect you?

DIANA : Protect me?

MATTHEW : Yes! How am I supposed to protect you if you won’t share things with me?

DIANA : All right. Where were you tonight?

MATTHEW : I told you, I had people I had to reach out to.

DIANA : So it’s okay for me to worry about you out there alone, but when I step foot outside…

MATTHEW : That’s different and you know it.

DIANA : Is it? You don’t protect me, Matthew. We protect each other. Book or no book, neither of us are getting back home unless I find the right teacher. This woman, she is a gift. We should be grabbing it with both hands, not running scared.

MATTHEW : I never run scared of anything in my life. I simply won’t take risks where your safety is concerned.

DIANA : Well, I’m not staying locked up in here. So either you find me that witch or I will go out there and I’ll find her myself.

In the morning

MATTHEW : Good morning.

DIANA : Morning.

MATTHEW : Show me the building that she came out of and I’ll get Walter on the case. That man can find anyone.

DIANA : Oh! Thank you. Thank you. I know it’s what we’re meant to do.

MATTHEW  : Not that I’m complaining, but I thought you were in a hurry to get outside.

DIANA : You said you were sending Walter.

MATTHEW  : To find the witch. I thought that I might show you something of the city.

DIANA : Yes.

MATTHEW  : If, and I mean this, only if Francoise has your new clothes ready. You are not going anywhere in that monstrosity. It’s over 20 years old and intended for court.

DIANA : Matthew de Clermont. Were you keeping me indoors because you didn’t want to be seen with a fashion victim?

MATTHEW  : Well, I mean, look at me. I do have a reputation to uphold.

Later,  Diana is in new clothes

MATTHEW  : Excellent!

LONDON'S STREET

MATTHEW  : Mistress Roydon.

DIANA : Yes.

 The two garner many looks from the city folk as they traverse the streets. 

DIANA : Did you always get this much attention?

MATTHEW : Perhaps. I don’t recall.

DIANA : All these people here. London is still so tiny. I always told my students that. Cities of the past would have smelled awful.

MATTHEW : Trust me, parts of it do.

DIANA : Not these parts.

MATTHEW : Well, I can always take you to a tannery yard if you’d like.

DIANA : Old St. Paul’s. It’s huge.

MATTHEW : Well, it helps not being dwarfed by a skyscraper too.

DIANA : I just… I just keep thinking. Okay, now it finally feels real. But now it does. Now… Now it finally feels real.

MATTHEW : Well, we should probably get back then.

DIANA : Hey. Come on.

As Matthew draws closer to the cathedral, he catches sight of someone

DIANA : What’s wrong?

MATTHEW : Damn it.

WILLIAM CECIL'S (LORD BURGHLEY) OFFICE

WILLIAM CECIL : Surely not. You’re mistaken.

PECKHAM : He’s taken pains to alter his appearance, but it was him. I’m sure of it.

MATTHEW'S HOUSE

In the bedroom

DIANA : It must be important to have you so rattled.

MATTHEW : I’m not rattled, Diana. I’m annoyed at myself for being so careless. Now it’s known that I’m in London, I have to pay my respects. It’s a waste of time, that’s all.

DIANA : But you won’t tell me who he is.

MATTHEW : He’s no one, an associate of Kit’s. I should have reported him right away. The truth is, I’m not sure I’ll pass muster. If he wanted details of what I’ve been up to then…

DIANA : Would Kit know? Can you ask him?

MATTHEW : Ask him what? Could you remind me of what I was doing last week? No. No. I’ll take my chances. We’ll get you a teacher. Find the manuscript. And we’ll get the hell out of here as soon as we can. I must go. And don’t leave until I return.

TAVERN

MATTHEW : Why don’t you have another, Master Pole?

POLE : You’re not… Have I done something wrong?

MATTHEW : Tell me. What was I doing out of London?

POLE : This is a test.

MATTHEW : They’re not concerns, but leaking of information, chatter in the ranks.

POLE :I ‘d never talk, I swear it.

MATTHEW : I know. I know, William. But you were always a very good listener.

POLE : Word was they sent you up north to Berwick. The Scottish king’s got his hands full rounding up witches. I heard they had you keeping him focused on his own affairs instead of…Well, you know…

MATTHEW : What we’re doing down here. I do. Go on.

WILLIAM CECIL'S OFFICE

WILLIAM CECIL : Leave us. So it’s true. Explain yourself.

MATTHEW : Forgive me, Lord Burghley, but you asked me to stay in Berwick only until my errand was concluded.

WILLIAM CECIL : Your errand was not a short-term endeavor.

MATTHEW  :The seeds of chaos are sown. The Scottish courts are in disarray. The witches are divided. If they’re not in hiding, then they’re up in arms against the king. To tarry longer would have risked detection. Unless, of course, your intention was to have me discovered.

WILLIAM CECIL : All right. We shall see how this chaos of yours plays out.

MATTHEW : Very well.

WILLIAM CECIL : Oh, and Roydon. I’ll have further use for you now that you’re home. Your methods of persuasion have been sorely missed. No slipping away without my leave. Understood?

MATTHEW : Of course, my lord.

MATTHEW'S HOME

DIANA : Matthew.

At night, Diana explores the hallways and ends up in the attic. She’s troubled to find a letter ...

DIANA : The royal seal. “My trusty shadow…”

She continues to look around, eventually finding a trap door hidden in the panels of the roof. Diana enters a hidden room which is full of dozens of letters.  She  then finds a rosary and looks up to see a cross on the wall. 

DIANA : Oh, Matthew.

Francoise enters the room, concerned.

FRANCOISE : I hope I wasn’t unwise to place my trust in you.

DIANA : You weren’t. I already knew he was Catholic. He told me.

FRANCOISE : Well, if you’d bewitched him, he’d tell you anything.

DIANA : Listen to my heartbeat, Francoise. I will not tell a soul what I’ve seen up here. I promise. I suspected that he was a spy. I just, I hadn’t put it together until now. He’s identifying Catholics. Betraying his own people, his faith.

FRANCOISE : Yes. He is.

In the bedroom

MATTHEW : Diana?

Diana is in the attic

DIANA : You look… I don’t know. Older.

MATTHEW : Well, that’s a first.

DIANA  : How did it go?

MATTHEW : He remains convinced for now, I think.

DIANA  : Why do you do it?

MATTHEW : Because it is my duty.

DIANA  : To your father. I was wondering when he’d come up.

MATTHEW : He is in France. We won’t encounter him. Come to bed...What? There’s nothing more to say that you haven’t already discovered. My father needed a spy in the English court. I fulfilled that need and I did it very well. Until now, apparently. Not even Philippe de Clermont thought to factor in time travel when he gave his orders.

DIANA  : But he knew you were Catholic when he sent you here.

Laughing

MATTHEW : Of course. What… Come to bed. Please. You’re the only thing that makes sense here.

In the morning, William Percy, Sir Walter Raleigh and Kit bring the witch

HENRY PERCY : Master Roydon. The witch you were seeking.

MATTHEW : Mistress.

SUSANNA NORMAN : Wearh.

MATTHEW : This woman is under my protection. She’s without family and in need of your assistance. She shows signs of being a witch.

SUSANNA NORMAN : We shall see.

She sits down at the table with Diana, touching her forehead

SUSANNA NORMAN : As I suspected, she is no witch.

MATTHEW : Do not play games. Truth. Now.

SUSANNA NORMAN : You sought my opinion, wearh, Now you have it.

DIANA : I think you do sense that I have power. Please. My magic led me to you, I am sure. There must be some other way that you can test my ability.

Matthew threatening

MATTHEW : Consider your answer. You do not want me for an enemy.

SUSANNA NORMAN : A true witch can unravel the ties that bind the order of things. She can relight a flame and stop a bell from ringing. Well, go on.

MATTHEW : Try again, Diana. I saw her lighting candles only days ago.

SUSANNA NORMAN : There now. It is as I told you.

DIANA : Wait. Let me try again.

MATTHEW : Diana, stop. Enough.

SUSANNA NORMAN : You can keep your money. I will have no part of this.

Susanna leaves. Diana follows her

DIANA : I won’t hurt you. I don’t know what that was, but you must see, I need your help.

SUSANNA NORMAN :It’s power like yours, that’s why they’re hunting us in Scotland. It’s why even here, we have no peace from men like your husband.

IN THE STREET

Matthews arrives

DIANA : Who else thinks we’re married? Besides your friends and the servants.

MATTHEW : Well, neighbors might have assumed. Why?

DIANA : She called you my husband.

As she stands outside talking to Matthew, a young boy attempts to pickpocket her. 

MATTHEW : Move those fingers even a hair and I’ll have your ear, boy.

DIANA : Matthew, he’s a child.

MATTHEW'S HOUSE

MATTHEW : I ought to haul you in front of the bailiff, young man.

DIANA : But you won’t and neither will I. What’s your name? -Jack, milady.

JACK : Jack. That’s a nice name.

DIANA : Where are your parents? Your family…

JACK :I haven’t any, milady.

DIANA :Had you ever heard anything about me before today? No matter how silly it may sound.

JACK :They reckon you’re a witch.

DIANA : I see. But you’re not afraid. No such thing as witches. I don’t suppose you might know where the rumors started.

MATTHEW : Hmm.

JACK : ‘Course I do. Nothing happens on Water Lane that I don’t know about. It was in the tavern. The one on the corner. The Lamb.

Later Diana and Matthew are with Percy, Raleigh and Kit

DIANA : I hope that what you saw earlier won’t stop you from helping us to find the book.

HENRY PERCY : Not at all. I’ve already written to a friend in Oxford, and I’m hopeful they will assist in the search. Matt, I’ll never be used to your face without a beard. Although, I must say, it makes your lip far easier to read.

SIR WALTER RALEIGH : Taken out your earring, too. Many changes since we saw you last.

MATTHEW : Tell me, Walter, have you had a drink at The Lamb recently?

SIR WALTER RALEIGH : Nay. In that rat nest? Hardly. It’s Kit who’s never out of the place. Why do you ask?

MATTHEW : Walter, I’ll see you and Henry tomorrow.

HENRY PERCY : Are you all right, Matt?

MATTHEW :Good night, Henry.

Diana and Matthew alone with Kit
Matthew, calm but threathening

MATTHEW : You talked about Diana. Don’t even bother trying to deny it.

KIT : Why would I deny it? I’d do the same again.

 Matthew grabs Kit by the neck and begins choking him out

MATTHEW : I had your loyalty. I know I did. Where is it now?

KIT : You still have it.

DIANA : He can’t breathe, Matthew.

KIT : Can you not see things from my perspective? You’re meant to be in Scotland with Gallowglass. Not here, married to a witch with no word of explanation! You’re not yourself, Matthew.

Diana calming Matthew

DIANA : We have to tell him. You saw what my magic did today. He’s gonna keep making trouble until I’m gone. He knows you. When he hears the truth, he’ll believe it.

MATTHEW : You won’t get another chance with me.

DIANA :I told Walter that I’m from Cambridge. And I am. But not the Cambridge you know. Cambridge, Massachusetts. It’s a colony in the New World.

KIT : I’ve never heard of it.

DIANA : Not the New World as it is now, but of the future.

KIT : She claims she is a time spinner. My friend, you are further gone than I thought.

MATTHEW : I know that she’s a time spinner because I traveled with her here myself.

KIT : You?

DIANA : Matthew is not behaving like the man he was because he is not the man you know. Not quite. Not anymore.

KIT : Pretend for a moment that I believe this story. Where is the Matthew from this time? The one who traveled north but weeks ago.

DIANA : We’re not sure. It is possible that when we arrived, he was displaced.

KIT : Displaced? Oh, you do, you do not mean dead?

DIANA : No. When we leave, things should go back to how they were.

MATTHEW : Listen to me, Kit. If you were ever my friend, be my friend now, accept us, both of us.Or you can leave this house and never come back. Either way, if you breathe a word of this to anyone, so help me God, I’ll end you.

In the attic. Matthew receives a letter

FRANCOISE : One of Cecil’s men.

MATTHEW : Thank you.

Matthew leaves
Later

DIANA : Matthew?

Kit is in the attic

KIT : He’s gone out. He didn’t wake you?

DIANA : Was he all right?

KIT : Difficult to tell.

DIANA : Yes. It often is with him.

KIT : Wine?

The two sit beside the fire

KIT : If you are sincere in your affection, then you deserve a warning. Your Matthew he is different. Gentler, I think. Being back here, wearing the cloak of his old self, it will… change him, his work, his enemies, even his allies. By the end of it, he will not be your Matthew any longer.

DIANA : I know what you’re doing, Kit. You think if we go, you get your Matthew back.

KIT : I have wit enough to know that he has never been that.

DIANA : You know what I mean.

KIT : I have seen Matthew at his worst, but I fear you are out of your depth.

DIANA : With respect, you don’t know me.

KIT : No.

DIANA : No.

KIT : When you met him, he singled you out. You were entirely uncommon. Exceptional in a way that he could not define. And although there was a darkness in him, it was somehow as though you had always known him. The way he talked, it was as if all those many lifetimes he had lived before were just marking time until he met you. Stay then, if you must. But do not for one moment, assume you know him.

TOWER OF LONDON
A CELL

Matthew stands in a cell and rounds on a man in chains while another man begins to torture the prisoner : he screams

 

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